GÉOMÉTRIE SACRÉE DU KÉBEK, SES LIEUX, SES MYSTÈRES, SON ÉNERGIE. 1ère partie
Vouloir regarder de l’autre côté du voile…
Il n’est pas toujours évident de parler d’une région que l’on connaît bien pour y avoir vécu tant de phénomènes inexpliqués et ce, depuis son plus jeune âge. L’on pense toujours en mettre trop quand vient le temps de mettre cela sur papier, ou craindre d’oublier tant de circonstances qui auraient de l’importance. Quoi qu’il en soit, quand on sait reconnaître et se souvenir de tout ce que l’on a vécu, c’est à cet instant que l’on voit la force et l’impact de tels lieux, et ce, tant dans la Lumi… Ère que dans l’obscurité.
C’est à l’intérieur de cette géométrie sacrée du KÉBEK que l’on peut y voir le plus d’observations d’ovnis, et y vivre tant de phénomènes inexpliqués. J’en suis comme bien d’autres personnes, le témoin depuis mon plus jeune âge. Mes parents, ainsi que mes grand-parents ont pu eux aussi y vivre tant de phénomènes étranges, sur ce qu’ils m’ont rapportés et sur une base de données de plus d’un siècle.
J’y ai toujours vécu des choses tout à fait inédites, à un point tel, que je n’aurais jamais pu imaginer aujourd’hui vivre ma vie d’une autre manière. Je pense que j’étais appelé à vivre tout cela, et à prendre forme au sein d’individus qui en auraient vécus tout autant à différents niveaux.
Déjà jeune, mes grands-parents maternels, ainsi que ma mère, me racontaient ce qu’ils avaient vécus un hiver entier. Jeune fille, ma mère et sa famille, habitaient la campagne et vivaient sur une ferme. Un hiver entier sans pouvoir expliquer ce qui se produisait, le matin très tôt quand il fallait aller traire les vaches, ils apercevaient tous une énorme bulle qui sortait de la forêt et qui s’avançait dans les champs, survolant une clôture de bois de cèdre pour s’approcher près d’eux mais tout en se tenant à distance. Ce globe en lévitation, volait au-dessus de la clôture et était d’une brillance hors du commun. Cela semblait dégager une lumière bleue électrique qui éclairait toute la neige sur des mètres de chaque côté. Quand ils s’en approchaient de trop près, elle reculait et s’arrêtait toujours en suspension à environ moins d’un mètre au-dessus de la clôture.
Quand ils décidaient de laisser faire ce globe lumineux pour entrer enfin dans la grange, cette bulle repartait direction la forêt. C’était ainsi tous les matins et les soirées, un hiver durant. Tout cela soulevait tant de questions que mes grands-parents en parlèrent à de nombreux voisins qui ont pu pendant des semaines entières voir ce phénomène particulier en se rendant à la ferme de mes grands-parents. Tous voyaient ce phénomène et ne pouvaient en comprendre le pourquoi de tout ceci et encore moins l’origine.
L’hiver avançait, jour après jour, le phénomène revenait jusqu’aux beaux jours du printemps, où tout cessa, et où plus personne ne pu voir à nouveau ce globe lumineux et rayonnant. Qu’en penser ? Ce n’est pas à moi de décider, je n’y étais pas ! Quoi qu’il en soit, on ne parlait pas d’extraterrestres en ces temps là !
Le temps passa, j’avais à peine 7 ou 8 ans, nous retournions à la maison après un court séjour chez mes grand-parents maternels. Nous quittions la nuit pour retourner à la ville tôt le matin pour ne pas nous retrouver dans la cohue de la circulation sur l’autoroute. Donc après avoir quitté mes grand-parents, il faisait nuit, nous étions à traverser la forêt quand j’entendis mon père dire à ma mère, qu’est-ce que c’est ? J’ouvris les yeux, faisant semblant de dormir sur la banquette arrière, et regardant par la fenêtre, je vis un objet très blanc et plus gros que la Lune qui survolait la forêt. Mon père dit à ma mère que cela devait être la Lune mais que c’était étrange car la Lune semblait nous suivre.
Mon père décida d’arrêter le véhicule sur la route pour mieux regarder ce qui se passait. Il sortit de l’automobile, et regarda en direction du ciel, ma mère demeura dans le véhicule et moi, je ne faisais aucun bruit tout en regardant par la fenêtre. Mon père vint nous rejoindre, et dit à ma mère que c’était la Lune. À cet instant même, cet objet partit de la droite, survola la route, s’arrêta quelques instants devant l’automobile et puis continua sa course vers la gauche et disparût au-dessus de la forêt sans le moindre bruit. Mon père regarda ma mère, et dit qu’il était préférable de ne pas parler de cela devant nous les enfants, pour ne pas nous inquiéter. Après quelques minutes, il reprit la route, tout en se questionnant de ce que nous venions de vivre. Nous n’en avons jamais parlé dans la famille…
Chez moi, nous étions de grands amants de la nature, j’ai donc été très jeune habitué à passer tous mes étés dans les Clubs Privés de Pêche un peu partout dans la Mauricie. J’avais un oncle qui était ingénieur pour la Shawinigan Water and Power, donc Hydro-Québec aujourd’hui. Il s’occupait des barrages tout le long de la rivière St-Maurice de Shawinigan jusqu’au Barrage Gouin en passant par celui de la ville de La Tuque où il demeurait. Comme je le disais, j’avais la chance d’aller de Club en Club aux frais de sa Majesté… LOL Vous imaginez à 8 ou 9 ans, ce que cela veut dire. La nature, les grands espaces, le canot, la pêche en milieu tout à fait sauvage, des lacs où personne n’était encore allé à cause des forêts denses, des grandes superficies à parcourir et des milliers de lacs où pêcher comme possibilités infinies. Je garde tant de merveilleux souvenirs de la région de La Tuque. J’ai pu côtoyer des amérindiens pendant des années, les voir vivre, manger avec eux, écouter les récits de leurs folklores, participer à des rituels amérindiens et j’en passe. Ils m’ont parlé de tant de choses, de phénomènes inexpliqués, de peuples des étoiles, d’animaux étranges, de bêtes plus qu’incroyables et de leurs croyances, des morts, des dieux et j’en passe. Imaginez la chance que j’ai pu avoir de côtoyer tout cela pendant une décennie entière. Cela m’a instruit, et surtout, a fait en sorte que j’ai pu avoir très jeune, une immense ouverture d’esprit. J’ai pu comprendre très vite, que tout cela faisait partie de tout ce que j’avais voulu vivre et que j’aurais une vie extra hors de l’ordinaire. Après tout, c’est toujours ce que j’ai désiré.
Ils m’ont tant raconté sur le Wendigo. Le wendigo (pluriel: wendigowak/wendigos) est une créature surnaturelle, maléfique et cannibale, issue de la mythologie des Amérindiens Algonquiens du Canada, qui s’est étendue à tout le folklore d’Amérique du Nord. Cette légende est partagée par plusieurs tribus amérindiennes et peut désigner la transformation physique d’un humain après la consommation de viande humaine comme une possession spirituelle. Les wendigowak (wendigos) vivent dans les profondeurs de la forêt et apparaissent dans des contes où le surnaturel côtoie des choses inhumaines et atroces. Parmi les histoires qui circulent, ils sont ancrés dans les légendes amérindiennes où ils tiennent une place importante. Mais vu sous un tout autre oeil, nous pouvons imaginer qu’ils peuvent être aussi, des êtres venus d’ailleurs, des aliénigènes ou autres. Quoi qu’il en soit, ils existent, et vivent sous la terre. Le peuple de dessous la Terre.
D’ailleurs, à ce sujet, j’ai entendu tant de récits provenant de gens de la région de la ville de La Tuque en Mauricie. Il m’a été raconté que des Petits Gris, ou Aliénigènes si vous préférez avaient été observés de nombreuses fois dans cette région par plusieurs personnes. L’on y parle de Sasquatch à la fois. Je me souviens d’avoir lu, il n’y a pas si longtemps, un récit qui se présentait ainsi… Un autochtone de Manawan au KÉBEK, racontait ce qu’il avait vu lui et ses amis en pré-automne 2008, une bête particulière. Au mois d’août lui et ses amis étaient partis dans le bois pour cueillir des bleuets pour ensuite les revendre entre la Réserve amérindienne de Manawan et La Tuque. En revenant à la réserve devant eux à peine 30 à 40 mètres de la voiture, il y avait une chose noire qui était là et qui ne bougeait pas. À prime abord, ils pensaient que c’était un ours ou un orignal mais ce n’était pas le cas. Un de ses amis s’apprêtait de sortir une carabine pour lui tirer dessus, mais la créature partit très vite et courut plus vite qu’un ours ou qu’un orignal et fait étrange, marchait à deux pattes. Ils n’ont pas voulu demeurer là, par crainte de ce que pouvait être ceci. Ils se sont toujours demandé si cela était un Sasquatch, un monstre, un être venu d’ailleurs ? Ils étaient 4 témoins et n’ont jamais eu de réponse face à ce qu’ils avaient vécu.
Une autre personne qui vit au lac Mélantel, sur la rivière Trenche dans le nord de La Tuque a pu photographier une énorme empreinte de pas qui contournait le lac avant d’entrer dans la forêt. Ce n’est pas la première manifestation de Sasquatch ou de Wendigo dans cette région.
Étant allé dans cette région de nombreuses fois, je peux vous dire que la nuit est plus que noire, le ciel plus qu’étoilé et que nous pouvons y voir des phénomènes lumineux, qui ne ressemblent en rien aux avions, aux satellites, et encore moins à des étoiles filantes. Et que dire des sons, et des cris à faire frémir qui ne sont pas ceux des orignaux, en encore moins des ours.
Avec mon oncle qui était un coureur des bois plus que reconnu dans sa région et guide dans la forêt, j’ai pu en apprendre des choses sur la survie en forêt, et ce que j’ai appris de lui, aura pu me servir toute ma vie. Je me souviens que de nombreuses fois, nous devions nous rendre dans des zones spécifiques où il y avait des camps de bûcherons travaillant pour une papetière internationale bien reconnue à l’époque. Les bâtisses étaient vides, car le personnel fuyait, car attaqué par la présence des ours qui détruisaient tout sur le passage en quête de nourriture. Mon oncle était appelé sur place, afin de les piéger. Mais vint le jour, où mon oncle me dit, que ce n’était pas des ours mais bien autre chose! Mais qu’était-ce ?
Un soir, alors que nous étions chez des amis(es) de mon oncle qui possédaient un merveilleux Club de Pêche privé, j’entendis au salon alors que j’étais couché une étrange conversation entre 3 ou 4 membres du Club et les propriétaires. Entre eux, ils se racontaient qu’ils avaient vus certains jours, avant que la nuit arrive, l’on dit dans la région, entre chien et loup, et sur de longues périodes des éclairs dans la forêt, des objets étranges qui volaient en zigzagant de gauche à droite dans le ciel au-dessus du lac et qu’ils freinaient avec rapidité et repartaient en sens opposé sans même s’arrêter. Un soir avant le repas en préparant le poisson, ils ont même pu apercevoir sur les bords du lac, d’étranges créatures qui ne ressemblaient en rien à des ours. C’était comme des êtres aux membres allongés, de grandes tailles, au bras très longs et qui semblaient très musclés… Ils les ont vus à quelques reprises comme venant boire à la source qui se jetait dans le lac. Et pendant que cela se racontait, j’écoutais les détails avec grande attention.
Mon oncle écouta les propos des uns et des autres, et il fit cette confidence… Il aurait vu sur des peintures rupestres il y a quelques années sur les bords d’une rivière de la région, d’étranges silhouettes qui semblaient être des extraterrestres. Mais qu’il avait perdu de vue l’une d’entre elles qui nous permettaient de voir des êtres venus d’ailleurs représentés là sur les rochers depuis des siècles. Cela m’avait tout à fait intrigué, et j’ai pu un jour, trouver cette information touchant de très près à ce que j’avais entendu ce jour-là, et dans cette région respective. Voici ce que j’ai pu trouver et que j’ai toujours gardé sous la main. Aujourd’hui, tout cela me sert enfin…
Bien qu’on connaisse des centaines de sites rupestres au Canada, on n’en a répertorié à ce jour qu’une dizaine au Québec. Il faut dire que les recherches ici accusent un certain retard et qu’on s’attend à voir ce chiffre grimper au cours des prochaines années. Mais le Québec restera toujours défavorisé du fait de ses nombreux barrages qui ont déjà inondé un nombre incalculable de sites. C’est peut-être ce qui est arrivé en Hautre-Mauricie, au lac Châteauvert, où des sites séparés par plusieurs arpents ont été aperçus au tournant du 20ème siècle par un missionnaire oblat, le Père Joseph-Étienne Guinard, lequel en a laissé une description pour le moins saisissante: le premier (dessin) consistait en des mains tendues, aux doigts longs et menaçants. Le deuxième dessin représentait encore des mains; de plus, de grands canots et des hommes nus, musclés, hauts de taille, la tête orgueilleuse, les bras nerveux. Cette peinture était rouge et très bien conservée. Le Père Guinard concluait laconiquement que le barrage de la rivière Manouane, érigé vers 1910, avait fait disparaître ces deux peintures. Pourtant, vers la fin de sa vie centenaire, il écrivait de nouveau à ce sujet: j’ai vu ces peintures, que le temps effaçait et qui tomberont un jour dans l’oublie. Nulle mention cette fois de barrage. Les peintures existeraient-elles toujours ? En 1972-1973, des équipes ont vainement tenté de les retrouver, effectuant même des plongées sous-marines car on sait que les peintures rupestres peuvent survivre sous l’eau. Mais a-t’on cherché au bon endroit ?
mémoires du R.P. Joseph-Étienne Guinard, o.m.i.. Manuscrit déposé aux archives de la Maison provinciale des Oblats de Marie Immaculée, Montréal, 1951.
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Mon oncle parlait-il de ce site là ? De par les descriptions qu’il nous donnait, cela y ressemblait beaucoup. Par contre, il est décédé depuis plus d’une vingtaine d’années, je ne pourrai jamais avoir ni réponse, ni confirmation à ce sujet. Triste, certes, mais en fait, tout cela n’est que le début, de cette fascinante saga de ce que peut représenter tout ce qui se passe entre ombre et Lumi… ère. Plusieurs savent tout en osant jamais parler. Ou encore, ne désire rien ébruiter sur différents sujets, de craintes de représailles ou d’être ridiculisés. Aprés tout, là où est la Lumi… Ère, est à la fois l’obscurité. L’obscurité ne peut pénétrer la Lumi… Ère, mais la Lumi… Ère pénétrera toujours l’obscurité !
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Je connais à juste titre, un autre site de peintures rupestres dans la région. Il est dans le Parc National de la Mauricie. Il est d’une grande beauté. Et je souhaite qu’il puisse y demeurer encore longtemps sans disparaître par la main des humains.
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La région du Parc de la Mauricie est plus que sacrée… Et ce site est tout à fait particulier par les énergies qui s’y retrouvent. L’on a la sensation de se retrouver au paradis le jour, et quand vient la nuit, une crainte s’installe en nous. C’est comme pour nous faire ressentir qu’ils sont là et qu’ils sont les gardiens des temples et que nous avons qu’à bien nous tenir !
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Ce site rupestre du parc de la Mauricie est d’une façon particulière très sacré et si magique. Il a été exécuté par des chamans interpellant des manitous à des rochers habités par ces derniers. Puissance surnaturelle, esprits complexes. Ces êtres à formes multiples communiquaient leur précieux savoir aux humains lors de transes, de visions ou de rêves. C’est pour cette raison que de s’y retrouver, c’est comme ressentir que l’on y est initié et que seuls les esprits qui s’y retrouvent savent transporter des clés à ceux et celles qui sauront s’en servir à bon escient.
4 Commentaires
Super j’ai beaucoup aimé cet article, à la prochaine
En ce qui concerne les Templiers en Nouvelle-France, il est possible que Trois-Rivières ait été le lieux de leur dernière commanderie mais je suppose plutôt que l’île de Montréal en était le lieu d’origine. Rappelez-vous les premiers dessins des voyage de Cartier sur l’île en 1534. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/be/Map_of_Hochelaga.jpg
Les dessins qu’il fait du Fort amérindien affiche un plan très symétrique et ordonné. La disposition fait plutôt penser à des installations militaires européennes. Un peu comme si Cartier, découvrant le pays, suivait un chemin bien précis et découvrant d’anciennes traces de l’exil de votre ancêtre vers cette nouvelle Atlantide. Tu dois certainement être aux faits que Henry Sinclair (Comte de Orcades), accompagné de l’explorateur Antonio Zeno, se tapaient quelques voyages vers l’Amérique dans les enivrons de 1370. Probablement avaient-ils eu vent des sagas d’Érik Le Rouge
c,est un merveilleux endroit ou je vais plusieurs fois toute la saison J,apprécie beaucoup.Merci Mere- terre de cette si belle création
Très émouvant même si ce que vous décrivez et rapportez pose plus de questions que cela n’apporte de réponses! Merci Philippe William!